BLADES OF MEDUSA, BY DDC – DIVINE CORAL COMPANY®

Projet sculpturale, éditoriale, sonore et vidéo en cours de réalisation

Les œuvres de Blades of Medusa, by DCC – Divine Coral Company® sont composées d’un ensemble de sculptures, d’un film et d’une micro-édition en cours de réalisation.

 

Le film met en scène une protagoniste sulfureuse : Medusa. Un ensemble de sculptures pétrifiées par les eaux des Fontaines Pétrifiantes de Saint- Nectaire sert de décor et d’accessoires.

 

Medusa est expert healer – blade maker pour la Divine Coral Company.

 

 

Décor du film en cours de réalisation

 

Dans l’installation, on pénètre dans l’intérieur humide de l’appartement de Medusa.

Une coiffeuse chargée de bijoux, un calice plein de textures crémeuses et un miroir corallien flirtent avec une liane de lames pétrifiées par les concrétions calcaires des eaux de la source de St-Nectaire qui s’agrippe au plafond. Un bénitier fumant, rempli d’un liquide rose chargé en Phos-Check, trône au centre de la pièce. Un peu plus loin, sur une table aux reflets poisseux, Spring Poison, le flacon contenant un fragment limpide de la source attend que l’on vienne décanter ces vapeurs.

Incrustées des perles qui s’agrippent à leur surface comme des coraux, ou pétrifiées par les eaux des sources, les formes, pulpeuses et tranchantes sont avachies sur des tapis de moumoute rose. Langoureusement, elles deviennent les supports d’une fabulation ambivalente qui se raconte dans le film et la micro-édition.

 

De l’autre côté de la pièce, un écran LED dévoile l‘intimité du job de Medusa, une diva un peu submergée par sa prochaine commande de lame pétrifiante. Healer free-lance pour la DCC, elle travaille depuis chez elle. Dans une pièce de son appartement aménagée en cabinet de sourcellerie, ses rituels sont surveillés en continu par les caméras de la Divine Coral Company. Le film exhibe la protagoniste dans ses rites quotidiens capitalisés, comme une caméra de surveillance met en scène ses employé•e•s sur les écrans des super-marchés. Utilisant les sculptures qui l’entourent, Medusa performe dans l’espace d’exposition. Elle se prépare à jeter un nouveau sort.

Mise en abîme vaporeuse, sur un petit présentoir à l’entrée de l’espace d’exposition, un moniteur est posé à côté des flyers/carte de visite de la DCC. Il est relié aux caméras de surveillance de la compagnie et diffuse en temps réel le va-et vient des visiteur•euse•s dans l’espace.

Coral Blades (Caribe & Scylla) & Coral Blade (Korycia) – 2024-2025 (série en cours)

Résine, perles, sequins, fil de cuivre, chaînes et bijoux

Dimensions variables

Coral cure (fotation dévice) – 2024

Résine biosourcée, plâtre, cage à poule, perles, bijoux, pompons, fil de cuivre, chaîne, mousse de rembourage, girlande lumineuse et fil électrique

Dimensions variables

 

Coral cure (purifying stoup) – 2025

Résine, plâtre, cage à poule, perles, bijoux, pompons, gélules d’huile de foie de morue, fil de cuivre, éponge, brume, eau, pigments et système électrique sur batterie

100 x 75 x 65 cm

Synompsis

Synopsis du film

 

Le film alterne entre différentes séquences issues des trois actes. 

Scénario Acte II

Scénario _ Acte II : Medusa’s lair

 

En fond sonore, on entend le bruit d’un respirateur artificiel et le bourdonnement de la pub de la DCC qui passe à la radio, entrecoupée d’une playlist perreo-hyperpop girly. Il fait nuit, l’espace est baigné dans les reflets de néons violacés rappelant des lampes UV. 

Une caméra de surveillance en placée à un angle du plafond de la salle et film toute la scène.

Scénario _ Acte II : Medusa’s lair

En fond sonore, on entend le bruit d’un respirateur artificiel et le bourdonnement de la pub de la DCC qui passe à la radio, entrecoupée d’une playlist perreo-hyperpop girly. Il fait nuit, l’espace est baigné dans les reflets de néons violacés rappelant des lampes UV. 

Une caméra de surveillance en placée à un angle du plafond de la salle et film toute la scène.